Cet été nous avons inauguré notre porte-bébé Stokke Limas Carrier Plus lors de notre séjour dans les Alpes. Puis, nous sommes rentrés à Tallinn, et le porte-bébé n’a pas retrouvé son carton. Car nous l’avons adoré, il est devenu indispensable pour nous. Toujours à portée de main pour nos escapades, voici mon avis et mon expérience sur ce petit nouveau norvégien.
Nos balades dans la forêt estonienne
Depuis que nous avons adopté Pomme, notre chien, nous adorons les longues balades en forêt. Été comme hiver, mais surtout en automne, où la nature est particulièrement belle.
Avec l’arrivée d’Oscar, notre fils, dans notre vie, le quotidien a été un peu bousculé. Mais ces balades si agréables n’ont jamais cessé d’exister.
Jusqu’à ses 1 an, nous restions cependant sur des sentiers moins accidentés et surtout plus larges pour faire passer sa poussette.
Maintenant qu’il marche, nous pouvons retrouver les chemins plus étroits et où la nature reprend ses droits. Oscar adore sentir les pommes de pin se fissurer sous ses pieds, grimper sur un petit rocher et écouter le bruit du vent qui se glisse entre les feuilles. C’est calme, apaisant, ressourçant. Une vraie pause bien-être.
Équiper un bébé pour se balader en forêt
Pour apprécier pleinement la balade, nous chaussons nos barefoot Wildlings. Nous avons alors une sensation de pieds nus. Plus proche de la nature, elles permettent de ressentir chaque relief, chaque caillou et branchage. Pour Oscar, c’est aussi l’opportunité d’avoir une chaussure qui facilite la marche, respecte ses besoins et aide à développer ses capacités motrices.
Mais ces chaussures ne sont pas équipées d’une assistance électrique. Alors, Oscar, du haut de ses 1 an et demi, fatigue plus rapidement que le beagle réputé pour son endurance. C’est alors que je sors mon porte-bébé Stokke Limas Carrier Plus. Léger et ajustable, il me permet de faire grimper Oscar sur mon dos. Et nous continuons ainsi la balade en forêt pour quelques kilomètres supplémentaires.
Oscar peut s’y recroqueviller, comme dans un cocon pour une power nap revigorante.
Mais la réalité, c’est que maintenant perché, il peut observer la nature sur un nouvel angle.
Ce porte-bébé physiologique lui offre une confort optimal. Pour ma part j’apprécie pleinement la proximité qu’il nous apporte. Même sur mon dos, on peut se prendre par la main, échanger un caillou ou faire quelques chatouilles.
Nous sommes désormais presque à la même hauteur. On a donc sensiblement le même champ de vision et les échanges deviennent particulièrement complices. Alors, on attrape un branchage, on s’émerveille devant l’agilité des écureuils. On partage encore et toujours des moments si précieux.
Ce porte-bébé physiologique est disponible dans de nombreux coloris et même de jolis motifs. Découvrez-les !
Pourquoi j’ai choisi le porte-bébé physiologique Stokke Limas Carrier Plus
La priorité quand on choisi un porte-bébé est donc dans l’adjectif physiologique. Pour qu’un porte-bébé remplisse ce critère, il doit permettre que les genoux du bébé soient plus hauts que ses fesses. C’est le cas sur le modèle que j’ai sélectionné et cela dans les 3 positions de portage.
J’ai choisi le porte-bébé Stokke Limas Carrier Plus pour plusieurs raisons :
- Entre l’écharpe de portage et le porte-bébé pour une liberté de mouvement tout en sécurité
- Léger (et cela compte énormément pendant les belles randos)
- Position physiologique respectée
- Confort et proximité pour le bébé
- Évolutif avec la possibilité de porter à l’avant, dans le dos et sur la hanche. On commence par porter son bébé sur le ventre, façon koala, puis sur le dos, et cela jusqu’à 18 kg.
- Le nouage et les nombreux réglages permettent d’ajuster au mieux la position du bébé et donc le confort du porteur
- 100 % coton biologique
- Lavable en machine
- Mais surtout il peut être utilisé dès un mois (4 kg). Et… on en aura besoin dans quelques mois Et oui ! Oscar sera bientôt grand frère et ce shooting cachait donc cette magnifique nouvelle.
L'article Nos balades en forêt en deux temps : à pied puis sur le porte-bébé Stokke a été initialement publié sur Clem Around The Corner.