Oui, les filles, la route sera encore longue et parsemée d’embûches mais jamais ô grand jamais ne baissons les bras : un jardin n'est jamais terminé et ne peut exister sans notre vigilance permanente !*perso j’ai été blonde, rousse, violine, brune et maintenant c’est panaché de blanc ; d'où ma nouvelle marotte d'installer des végétaux à feuillages panachés ? Allez savoir...
Aujourd'hui, c'est ma parenthèse spéciale du 8 mars mais je reviens très vite pour vous montrer le sapin démonté. En attendant, ça bouge toujours par chez moi :
J'avais craqué pour le Corokia Cotoneaster présenté par Cécile du blog archi beau "Un nouveau jardin" et je l'ai enfin trouvé ! Je vous le remontrerai quand il aura ses fleurettes jaunes. Pour l'instant, j'adore cet enchevêtrement de branches presque noires avec ses minuscules feuilles vert sombre.
Au gauche : Mahonia aquifolium. Au centre : rose trémière noire, A droite : Aubriète bleue Nana variegata
de gauche à droite : le petit truc est une euphorbe lathyris (réputée pour faire fuir les taupes) puis au centre mais on voit pas très bien : une euphorbe amydaloides (j'en ai pris 3) puis à droite une achillée millefolium Red Beauty
Un abutilon megapoticacum que j'avais répéré depuis chez longtemps chez Capucyne de l'excellent blog "La nature et la Plume"; installé bien à l'abri, il devrait résister aux hivers du Gard
Un frémontodendron près de la cabane dont la peinture est de plus en plus...patinée...
En clair, je dois repeindre mais c'est pas ma priorité.
Evidemment, j'ai encore plein d'autres nouveautés mais je les remets à un prochain billet, histoire de vous laisser finir tranquillement la soirée. Je termine avec ces quelques mots :Une vieille chanson de Guy Béart, à la mélodie très jolie, raconte« Qu’on est bien, dans les bras,
d’une personne du sexe opposé… ♫
qu'on est bien dans ces bras là ♪
Qu’on est bien, dans les bras,
d’une personne du genre qu'on a pas... ♪» Si l'opposition ne va pas jusqu'à la triste réalité des femmes qui meurent sous les coups de leurs types, je dis ok, c'est possible...Mais globalement, disons plutôt qu’on est bien dans les bras d’une personne du sexe qu'on aime... Et tant qu'on ne trouve pas son complice conjugal, ben...faut se concentrer sur son sex-appeal !Bien amicalement,
La jardinière en herbe, féministe à temps plein y compris les années bissextiles